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 « La fierté est le pire des défauts humain » | Conrad

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C. Andréa Williams
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MessageSujet: « La fierté est le pire des défauts humain » | Conrad   « La fierté est le pire des défauts humain » | Conrad Icon_minitimeJeu 8 Déc - 16:52

Conrad & Loreley
« La fierté est le pire des défauts humain »

« La fierté est le pire des défauts humain » | Conrad Ian2 « La fierté est le pire des défauts humain » | Conrad 616830--100x100-1 « La fierté est le pire des défauts humain » | Conrad Ian-somerhalder-8 « La fierté est le pire des défauts humain » | Conrad Emma-emma-stone-24682539-100-100 « La fierté est le pire des défauts humain » | Conrad Photo_75075689_avatar_7 « La fierté est le pire des défauts humain » | Conrad Emma-Stone-emma-stone-13912405-100-100

The Show Must Go On – Queen




    La nuit était tombée sur le Texas, et les lumières des lampadaires, des façades des Diners encore ouvert, et des bars avaient remplacé les doux rayons du soleil. Les étoiles ? Oh, elles étaient sans doute là, mais éclipsées par les néons brillants qui illuminaient les rues de Richardson comme si on était en plein jour. Les travailleurs et les enfants étaient allés se coucher. Et les jeunes sortaient. Comme chaque vendredi soir j’avais envie de dire. Et ce soir, moi aussi j’étais de sortie. L’une de mes robes préférée passée, ma crinière brune/rousse lâchée en longues boucles gracieuses sur mes épaules dénudées. Un boléro pour affronter le froid de décembre (oui, comme dans Anastasia), et une paire de talons. Meweene souffrait d’un mal de tête qui la rendait de mauvaise humeur (à moins qu’elle n’ait ses règles la blondasse !) et l’avait limite envoyer sur les roses quand je lui avais demandé si elle voulait m’accompagner. Mais bon, je commençais à la connaître, ma meilleure amie, ça faisait quand même 10 longues années que nous étions inséparables ! Evitant de justesse un coussin qu’elle me lançait à la tête, je claquais la porte en riant, avant de sortir de la résidence universitaire dans laquelle nous vivions, pour gagner la grande avenue de Richardson, afin d’y trouver un taxi pour me conduire là où j’avais l’intention de passer ma soirée. Et qui sait, peut-être même que j’allais rencontrer l’amour de ma vie ce soir ! … Ah. Ah. Ah. Sauf que je ne crois pas au « grand amour ». Dommage ! On se contentera de sexe, c’est bien aussi non ? Après tout, c’était bien comme ça que la plupart des gens de la fac’ me voyaient (merci à Quinn pour ça d’ailleurs…), autant leur donner ce qu’ils voulaient non, et jouer le jeu jusqu’au bout ? A bad reputation is better than no reputation comme dit l’adage ! Le pire dans tout ça, c’était qu’avant cette histoire, je n’avais pas eu tant de partenaires sexuels que ça. Je veux dire, oui, j’étais jolie, et sexuellement active, mais je n’étais pas le genre de nana à coucher avec tout ce qui lui tombe sous la main (ou entre les cuisses…). Pas qu’aujourd’hui j’allais passer la nuit entre les draps de n’importe qui, mais… vous voyez ce que je veux dire ! Bref, ce n’est pas comme si ma vie sexuelle était spécialement intéressante (bon, si, c’est toujours intéressant de parler de cul, mais on ne va pas passer la soirée à en discuter ! Je ne voudrais pas risquer de choquer des oreilles chastes –comme si ça existait encore !), mais j’avais une boîte à aller animer moi !
    Je trouvais le taxi plutôt rapidement. Il y en avait toujours des dizaines qui traînaient devant la fac le vendredi et le samedi soir. C’était les jours où les étudiants sortaient le plus (normal quelque part…) donc forcément, le jour où ils avaient le plus de chance de sortir. Je grimpais dans le premier venu, claquant la portière, indiquant le nom de la boîte dans laquelle j’avais prévu de passer la soirée. Le chauffeur, un vieux papy Brossard (le genre de petit vieux tout gentil qui offrirais des nounours à ses petits-enfants, et resterai au coin du feu, heureux de vivre, bien emmitouflé dans ses pantoufles à carreaux, un plaid sur lui, sa petite moustache bien peignée, fermant les yeux pour se souvenir du visage de feu-sa femme, le seul et unique amour de sa vie), me lança un petit sourire, me demandant si j’allais faire la fête, et tout plein de choses. J’aimais bien discuter avec les chauffeurs de taxi, ils avaient toujours plein de choses à dire, et puis, il faut aussi avouer que j’étais du genre sociable. Le trajet fut court, rapide, et nous évitâmes tous les feux rouges : c’est ça qui est génial quand on tombe sur une antiquité : ils connaissent la ville par cœur, et savent parfaitement comment fonctionnent les feux, quels sont les endroits à éviter si on ne veut pas risquer les embouteillages, et quels raccourcis emprunter. Avec eux, pas besoin de GPS pour trouver son chemin. Il me déposa juste devant la boîte, et je payais le trajet, laissant un pourboire, comme il était de rigueur de le faire, claquant la portière derrière moi. Le videur, qui était une de mes connaissances, me fit signe d’entrer et, déposant un baiser sur sa joue, j’entrais directement dans la boîte, laissant mon boléro et mon sac à l’entrée, après avoir payé un de ces bracelets donnant droit à un certain nombre de verres. Je pénétrais finalement dans la salle où les corps se bousculaient les uns aux autres et, avant de rejoindre la piste de danse, je passais par le bar, histoire d’entamer la soirée avec une vodka pomme. Ma marque de fabrique. C’était à coup de shots de vodka que j’avais pris ma première cuite avec Meweene, et depuis, j’étais incapable de m’en passer. Certes, je ne me contentais pas que de ça. Comme les statistiques le disent si bien, en boîte, les boissons préférées des femmes sont la vodka et le champagne… Et puis, le whisky, mêlé à du coca, c’est pas mauvais non plus. Mais… on a tous un péché mignon ! Un vilain vice qui ne vous lâche pas…
    Je m’installais sur un des tabourets libre, et fit signe à la barmaid, qui s’approcha aussitôt. Je tendis mon poignet, qu’elle puisse faire voir que mon bracelet était encore vierge de toute commande, et lui demanda un verre. Bourreau, fait ton office ! Mon verre apparut comme par magie devant moi quelques instants plus tard, et je la remerciai d’un sourire, portant le liquide à mes lèvres, laissant mon regard glisser sur la foule, à la recherche d’un quelconque visage connu. Ce fut sur ma droite qu’enfin, mon cerveau reconnut quelqu’un. Ses prunelles ne me lâchaient pas, et il était plus qu’évident que c’était moi qu’il regardait, assis à l’autre bout du bar, son verre à la main. Je manquais de m’étouffer, et reposa mon verre sur le comptoir, tournant la tête rapidement, priant pour qu’il ne m’ai pas reconnu… Conrad… Depuis ce fameux soir où il m’avait trouvé pleurant toutes les larmes de mon corps, cachée à l’extérieur de la maison dans laquelle avait lieu la soirée où nous étions tous les deux présents, et où je l’avais envoyé sur les roses après qu’il eut tenté de me réconforter, je le fuyais comme la peste. Honteuse d’avoir été trouvée en pleurs, alors que j’agissais comme si rien ni personne ne m’atteignait depuis des semaines, des mois, des années même, honteuse d’avoir repoussé de la sorte une personne qui cherchait seulement à m’apporter son aide, mais trop fière pour avouer que j’avais sans doute eu tort d’agir de la sorte, je n’avais pas trouvé d’autres solutions que de tout faire pour ne pas recroiser son chemin. Jusqu’à lors, je m’en étais plutôt bien sortie… Jusqu’à ce soir cependant, visiblement…

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Nathan C. Wilson
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MessageSujet: Re: « La fierté est le pire des défauts humain » | Conrad   « La fierté est le pire des défauts humain » | Conrad Icon_minitimeSam 17 Déc - 17:36

Conrad & Loreley
« La fierté est le pire des défauts humain. »


Une fine et fragile pluie s'était abattue sur la ville de Richardson voire même dans d'autres régions des États-Unis, si bien que les météorologues prévoyaient une chute de neige brutale d'ici la fin de l'après-midi et durant toute la nuit complète, ce qui n'était pas pour déplaire à Conrad. Même s'il n'avait pas vraiment l'habitude de voir de flocons de neige s'envolaient gracieusement dans l'air afin d’atterrir sur le sol il n'en restait pas moins que cela lui plaisait et l'apaisait aussi en quelque sorte. Disposé face à la fenêtre qui trônait dans le salon de son studio, le jeune homme regardait inlassablement par la baie vitrée dans une posture plutôt droite et imposante, les bras croisés entre eux. Son regard était vide de sens, vide d’esprit si bien qu’il ne toisait rien de précis, ses iris étaient fixés vers un point totalement invisible et son subconscient divaguait complètement autre part, autre qu’à l’endroit où il était actuellement. Il voyageait souvent hors de la réalité lorsqu’il se savait seul, Alexis n’était pas encore rentré, ne sachant absolument pas où il pouvait bien être et cela l’inquiétait tout de même car il savait les activités extrascolaires de son colocataire et cela ne pressentait rien de bon. Il était persuadé qu’il réussirait à l’aider, par n’importe quel moyen, mais il ne perdait pas espoir de ce côté-là, il connaissait ce monde où marchait Alexis, même s’il ne s’était jamais réellement drogué, principalement qu’en soirée mais rien de bien méchant, cela dit pour le cas de son colocataire c’était différent, ce dernier était totalement plongé dans la drogue et les substances illicites, il en vendait d’ailleurs à d’autres et surtout aux élèves de l’Université. Même si Conrad n’était pas un médiateur il n’en restait pas moins qu’il voulait vraiment le sortir de ce calvaire. Alexis était beaucoup trop jeune pour se pourrir la vie dans des choses pareilles, d’autant plu qu’il propageait sa dépendance partout autour de lui, même si Alexis n’avait jamais proposé à Conrad un joint ou autre chose de ce genre, peut-être se doutait-il de la réaction de ce dernier, il n’en savait vraiment rien. Conrad finit par secouer négativement la tête non ans déchaînement afin de disperser ses pensées ailleurs que ans son esprit. Il décolla son regard de la vitre et le dirigea par-dessus son épaule afin de regarder l’heure affichée sur l’horloge disposée au dessus de la porte du salon, porte qui donnait accès à la cuisine. Les aiguilles indiquaient 20h52, ce qui fit souffler le jeune homme. Ce dernier fit glisser ses deux mains dans ses cheveux déjà ébouriffés et tout en agissant ainsi il se dirigea vers la salle de bain commune, déboutonnant à chaque pas qu’il faisait, les boutons de sa chemise. Une bonne douche ne serait pas de refus avant de déguerpir de son studio, il voulait se changer les idées et arrêter de faire les cents pas dans son salon et le seul moyen pour stopper était de sortir, il ne savait pas encore où exactement mais il finirait par trouver. Haussant lâchement les épaules, Conrad fit un geste afin de retirer sa chemise et de la déposer dans le panier à linges sales, il fit de même avec les autres vêtements disposés sur lui, de ce pas il alluma l’eau de la douche et la régla à bonne température avant d’y pénétrer. De là, il se laissa aller, relevant son visage vers le jet d’eau il s’abandonna à toute sensation qu’était le bien être d’une douche agréable et sereine, les gouttes d’eau déferlaient abondamment sur son corps musclé et robuste, laissant des frissons lui parcourir l’échine due à la chaleur incessante qui persistait dans toute la pièce. Il était plus apaisé, plus serein et c’était toute la différence pour une bonne soirée. Quelques minutes étaient passé depuis son entrée dans la douche, ce pourquoi il finit par fermer le robinet d’eau, et sortit de la douche en attrapant une serviette pour l’entourer autour de sa taille. Il se tourna alors vers le lavabo miroir où il pouvait constater que le miroir était plein de buée, de là il l’essuya à l’aide de sa main afin d’essayer de s’apercevoir quelque peu. Il décida de se coiffer avant de s’habiller, chose qu’il faisait souvent d’ailleurs, ainsi il s’empara d’une deuxième serviette afin de se sécher méticuleusement ses cheveux qui s’étaient retrouvés en bataille, de là il les mit rapidement bien en place afin de faire effet décoiffé sans pour autant que cela fasse miteux. Il n’était pas du genre à sortir n’importe comment, il s’habillait élégamment et mettait parfois des heures pour se préparer. Fin coiffé, il se dirigea, nu sous une simple serviette le recouvrant, vers sa chambre pour s’avancer vers son armoire, de là il entreprit de choisir une chemise blanche et un jean de couleur noir suivis de chaussures portant la même couleur. Il enfila son boxer pour poursuivre par le reste de ses affaires. Il laissa un bouton de sa chemise ouvert, et se parfuma légèrement, il ne fallait surtout pas abuser du parfum pour éviter de sentir mauvais. Il regarda l’heure à sa radio réveil, une heure était passé, il ne s’en était d’ailleurs même pas rendu compte, il attrapa sa veste et l’enfila rapidement pour finir par se diriger vers l’entrée en attrapant ses clefs de voiture. Il n’était pas vraiment du genre pressé, mais il aimait faire les choses biens et il était souvent quelqu’un de vif et rapide, il n’aimait pas le fait d’attendre, attendre quelque chose, comme la file d’attente dans un supermarché, au médecin ou dans une boulangerie et surtout il n’aimait pas attendre quelqu’un d’autant plus qu’il était ponctuel de son côté, il était préférable pour l’autre personne de l’être en retour si elle ne voulait pas se prendre un bon lapin.
Il monta dans sa voiture pour de suite allumer la radio qu’il mettait à fond. Il mit le contact et démarra en trombe, un coude appuyé sur la porte tenant le volant à une main seulement. Depuis le temps qu’il avait le permis il avait prit l’habitude de rouler sans les deux mains comme sa mère lui avait toujours répété. Sa mère, la seule personne qui était capable de vraiment le calmer, malheureusement elle n’était plus présente, bien trop loin de lui, ce qui était sans doute la première raison de Conrad à être aussi renfermé qu’il ne pouvait l’être actuellement, il lui manquait une part de lui-même, un bout de son âme. Afin de chasser ses pensées il bifurqua rapidement à droite en passant sous un feu orange, mais sous la présence de peu de voiture il était certain qu’il ne se ferait pas grillé par la police et quand bien même cela aurait été le cas il était certain qu’il les aurait amadoués. Il se gara sur un parking qui était pratiquement rempli, nous étions un week-end et il était évidant que cela se produise, de plus il s’était effectivement arrêté pour descendre et se diriger vers une boîte de nuit, qu’il connaissait très bien d’ailleurs puisqu’il dépassa la plupart des autres attendant pour saluer la videur d’une poignée de main, avant d’entrer. La salle était quelque peu bondée, mais ce n’était simplement que le début, il fallait attendre minuit et plus pour que la pièce soit vraiment surchargé de monde. Il n’aimait pas vraiment être reconnu par tout le monde, mais son statut du mec populaire de l’Université ne lui laissait pas vraiment le choix, de ce fait la plupart des gens présents le salua soit d’un geste de la main, soit en le lui serrant tout en lui prononçant un message de bienvenue en plus de cela la plupart des gens portaient un petit bracelet autour du poignet, afin d’être persuadé qu’ils ont bien passés par le videur en entrant, ce qui n’était pas du cas du jeune homme, puisqu’il était connu de tous, même de ce qu’il ne connaissait pas. Conrad s’en était tiré à bon compte, sous le peu de présence de ses connaissances il était rapidement arrivé au bar pour s’y appuyer, de là il appela la jeune femme qui était disposé à prendre et à ramener les commandes des fêtards. Il commanda un whisky pur pour bien commencer la soirée qui allait suivre, il fut d’ailleurs rapidement servi par la barmaid qu’il remercia par un simple sourire. Il se retira ensuite du comptoir afin de s’aventurer dans la foule pour aller de l’autre côté de la boite, il s’assit sur un des tabourets libres et laissa ainsi divaguer son regard perçant dans l’afflux de personne trônant un peu partout dans la boîte. Et ce fut le coup de poing en plein visage lorsqu’il aperçu sur sa gauche une jeune femme qu’il l’avait gentiment envoyé sur les roses, non pas qu’il ait voulu la draguer, non mais tout simplement le fait qu’il avait une la bonté de lui demander la raison pour laquelle elle pleurait, lors d’une des soirées où ils s’étaient vu pour la première fois. Une fois pas deux, Conrad avait, sous le coup de la colère aussi déguerpi de nouveau dans la foule de la fête. Il n’avait jamais remis Loreley à ce jour, ou du moins la croisant parfois à l’Université ou lorsqu’il allait voir Meweene puisqu’elles étaient colocataire. Il l’a regardait avec insistance, son verre à la main qu’il n’avait encore pas touché. Il sourit lorsque cette dernière, après l’avoir remarqué tourna sa tête pour se persuader, certainement qu’il ne l’avait pas reconnu. Chose peu propable, il n’avait aucunement oublié son visage, aspergeait de larmes, il se souvenait même que sur ses joues rosies étaient dispersés tout son mascara, d’où la couleur de ses paupières et de ses yeux qui étaient noirs. Il se releva alors, s’apprêtant à aller l’aborder, histoire qu’il lui fasse rappeler qui il était, même si cette dernière le savait parfaitement. Il but la totalité de son verre, grimaçant légèrement lorsque le liquide s’insinua dans ses veines et brûla le fond de sa gorge. Les mains dans les poches il s’avança vers Loreley, en appuyant son dos sur le comptoir à ses côtés. Il ne l’avait pas regardé et n’avait pas diriger son regard vers elle, mais sur la foule qui s’était mise à danser pour la plupart. Quand bien même il dû s’approcher de son visage, pour dissiper le son de la musique forte dans l’ensemble de la pièce. « Tu te souviens de moi, je suppose ? Conrad, celui qui tentait vainement de t’aider mais que tu as envoyé sur les roses. Tu dois déprimer pour te retrouver toute seule ici, un verre à la main. C’est malheureux. » Il était plutôt sarcastique, mais il avait sa fierté et il ne l’avait jusqu’alors jamais mis de côté, même si cela n’était pas le cas aujourd’hui, il n’en restait pas moins qu’il n’était pas du genre à oublier les choses que les gens ont bien pu lui faire, comme c’était le cas de cette jeune femme.
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