dîtes bonjour à Nathan C. Wilson Messages : 245
Crédits : (c) Blondie ▲
Célébrité : Ian Somerhalder
Situation : Célibataire
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| Sujet: ◗ Don't you ever wonder why I never was by your side ? » [ ✝ Conrad Jakman ] Ven 2 Déc - 20:43 | |
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(c)tamiebiaalways.Conrad Duncan Jakman MA CARTE D'IDENTITE ft. IAN SOMERHALDER NOM ღ Jakman PRENOM(S) ღ Conrad, Ducan AGE ღ 23 ans VILLE NATALE ღ Los-Angeles, California, United States ETUDES ღ Études de Droit GROUPE ღ The Kings
| CLUB ღ Club de Boxe STATUT ღ Célibataire et le reste! TRAITS DE CARACTERE ღ Peu Bavard ▲ Impulsif ▲ Fermé ▲ Égoïste ▲ Manipulateur ▲ Sportif ▲ Intransigeant ▲ Courageux ▲ Feignant ▲ Cynique
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my story C'est en mars 1988 que naquit Conrad Jakman dans l'État de Californie, à Los Angeles pour être plus précis. Il vit avec ses deux parents respectifs, Léa Meyer-Jakman sa mère et Noah Jakman son père. Ces derniers possédaient une grande richesse et ils étaient estimés comme étant haut placé dans leur société, de nature bourgeoise il n’avait donc aucun problème d’argent au contraire il obtenait tout ce qu’il voulait quand il le voulait et ceux grâce à l’amour inconditionnel que lui portait sa génitrice. Génitrice qui faisait tout pour lui, elle était pour lui, la femme de sa vie, celle qui était toujours là lorsqu’il en avait besoin, lorsqu’il avait besoin de conseil, d’aide, d’amour. Elle était sa meilleure amie, et rien ni personne ne pouvait dire le contraire. Il portait une très grande admiration pour sa mère, il était fier de l’avoir, fier d’être son fils à l’inverse l’entente qu’il avait avec son père n’était absolument pas la mienne, il entretenait des relations conflictuelles et cela depuis l’âge de 10 ans, l’âge où l’innocence de l’enfance, où la vulnérabilité et la naïveté disparaît alors pour faire place à la triste réalité, son géniteur ne l’appréciait guère, il faisait tout pour le mettre six pieds sous terre, pour le rabaisser sans cesse. Après s’être opposé pour la première fois, face à son père en lui crachant des paroles abominables au visage, des paroles incessants et pourtant réelles, Conrad prit la décision de partir de chez lui, abandonnant sa moitié, sa vie mais s’éloignant de son démon, il parti au Texas, s’était trouvé un petit appartement non loin de l’Université qu’il avait rejoint pour finir ses études dans le Droit. Les seules conséquences depuis son départ étaient qu’il avait littéralement changé depuis, devenant beaucoup plus renfermé sur lui-même, beaucoup plus discret, Il n'était alors plus le gentil petit garçon que l’on permettait de rabaisser, d’infériorisé, il n'obéissait plus à quiconque, procédant à sa façon et dévalorisant les personnes qui se permettaient de l'en dissuader. Il était très peu bavard et il n’estimait pas nécessaire d’ouvrir la bouche pour ne rien dire de bien intéressant. Il restait neutre car involontairement son père l’avait endurci, il était plus égoïste qu’auparavant, il faisait passé son bonheur avant celui des autres. Manipulateur, cynique et intransigeant il ne laissait rien pour acquis et il n’était pas du genre à se taire lorsqu’on se permettait de parler sur lui. De plus le beau brun s'était embelli au fil des mois, il possédait un corps de rêve, élance et à la carrure d’un athlète. Il pratiquait la boxe depuis son entrée à l’Université du Texas, pour canaliser son énergie. C’était le seul moyen de se calmer lorsqu’il s’énervait, le seul moyen d’être bien, frapper dans un sac, de toute sa puissance, de toute ses forces était la seule chose capable de réussir à atténuer sa colère, ses émotions qu’il gardait depuis au fond de lui, et dont il se sentait obligé de ne rien ressentir de son passé. La boxe était son échappatoire en quelque sorte. Son apparence était une des plus remarquables, il était beau et ne s’en cachait pas, son charme opérait souvent dans la gente féminine sans qu’il s’en rendre véritablement compte, parfois on le caractérisait comme un Adonis. Ses muscles de son torse et ceux de ses propres se moulant parfaitement bien et était visible aux yeux de tous. Ses cheveux de couleurs brun étaient mi-long et généralement en bataille, ce qui lui donnait un air de rebelle et un côté charismatique, quant à ses yeux, bleu azur tel qu’on pourrait y plonger et s’y noyer pouvaient vous rendre tout aussi insoumis, incapable de vraiment se détacher de ses iris, si envoûtant et si mystérieux à la fois. Ainsi son visage était ange, mais démon à la fois, ses yeux ne laissait rien paraître de ses émotions. Bien qu’il soit populaire de part son physique et sa carrure il n’en restait pas moins qu’il n’aimait pas cela, et dit populaire disait aussi toutes les filles dans son lit mais bien au contraire, il n’était absolument pas comme tous les autres, plutôt discret depuis son adolescence, il ne savait pas vraiment la raison pour laquelle il était reconnu, il n’était pas du genre à avoir énormément d’amis, si bien qu’il n’en a aucun, mis à part Mickaël et Juliet, Mickaël jeune homme qu’il avait alors rencontré dès son arrivée à l’Université, malgré leur similarités il était amis, même les meilleurs. Ils étaient toujours ensemble, quoi qu’il arrive, jamais l’un sans l’autre et la plupart des étudiants les pensaient frère. Et Juliet, une jeune et belle femme avec qui il était devenu très vite amis, avec qui il entretenait une relation des plus ambiguë et qu’il fréquentait souvent d’ailleurs et dont le rapprochement faisait alors fuir Conrad, ainsi il s’était éloigné d’elle, non pas qu’il n’était pas sa relation amicale avec cette dernière mais simplement parce qu’il était tombé amoureux d’elle et il ne voulait en aucun cas perdre ses moyens et devenir de nouveau vulnérable ni même s’engager dans une relation. Il était difficile pour lui de montrer ses sentiments, ce pourquoi il devenait parfois cynique pour qu’ainsi les gens proches de lui s’éloignent. Ainsi le jeune homme était tout le contraire de ce que les personnes pouvaient passer de lui, il se cachait et cachait ses faiblesses derrière une carapace. me and myself PSEUDO ღ Emy AGE ღ 17 Carottes LE CODE DU REGLEMENT ღ QUE PENSES-TU DU FORUM ? ღ Il est parfait, beau, magnifique, original, vif.. Il est super et je l'adore déjà, normal puisque c'est ma n'Amoureuse qui le tient SUGGESTION ? ღ Pas de suggestion EXEMPLE DE RP ღ - Spoiler:
Le démon déambulait dans la chambre d’un motel dans laquelle il venait juste de s’installer, il arpentait inlassablement les quatre coins de cette pièce, parcourant tout en faisant les cents pas, incapable de se calmer, de réfléchir à un quelconque plan ou échappatoire, les mains en prière, le visage relevé et une mine légèrement déconfite affiché sur sa physionomie, il essayait tant bien que mal de prendre une profonde inspiration afin de trouver une solution à son problème, problème qu’il avait toujours eu du mal à gérer, provoquant souvent sa colère et lorsqu’il l’était, ce n’était jamais très beau à voir, ce pourquoi il s’efforçait de contrôler sa rage d’avoir été face à face avec ce Crossroad, qu’il se permettait d’haïr. Pourtant, il n’était pas du genre à être quelqu’un qui se posait des questions, certes il n’était jamais sous contrôle et il était rare que le jeune brun ne soit pas au moins une fois dans la journée un temps soit peu énervé, en rogne, cela était devenu un quotidien, de plus il avait appris à vivre au jour le jour, de profiter, il savait qu’il était beau, qu’il était charismatique et qu’aucune femmes ne pouvaient le résister, par n’importe quel moyen, il avait toujours obtenu ce dont il voulait, au moment où il le voulait, et il n’estimait pas nécessaire de faire partie des sbires de ce Crowley, ce démon qui avait mainte et mainte fois tenté de convaincre Morgoth de rejoindre son équipe, mais qui avait par la même occasion toujours échoué. Morgoth ne comprenait pas pourquoi il le voulait dans ses rangs, pour quelle raison il cherchait à l’obtenir, à la contrôler en quelque sorte, même si ce dernier n’était pas totalement au courant des activités des Crossroad, il en avait tout de même une petite idée derrière la tête. Morgoth était un tortionnaire, voilà tout, un tortionnaire acharné, il aimait faire souffrir les autres, tel un sadique assoiffé de sang, il pourrait presque jubiler de torturer ses victimes de n’importe quelle façon qu’il soit, cela était devenu un jeu, une jeu auquel il n’arrivait plus à se passer, comme une drogue, une grosse dose d’héroïne, il était droguer à la torture, il en était même en manque lorsqu’il n’agissait plus, surtout depuis qu’il soit parti, en ne sachant pas comment, de l’enfer, atterrissant dans un corps qu’il ne connaissait pas, qu’il ne maîtrisait pas si tant est qu’il avait finis par le connaître du bout des doigts, le possédant comme si l’hôte n’en était pas un, il savait se jouer de son charme inconditionnel et provocateur et il en était fier, d’ailleurs, mais pourquoi ? Pourquoi le vouloir à ce point ? Une question à laquelle il réfléchissait à en perdre la tête, en y mettant des réponses auxquelles il n’estimait rien de très bon. Des questions dont seul Crowley pouvait en donner des réponses claires, nettes et précises. Il n’en restait pas moins que Morgoth était toujours sous le coup de la colère, à cause et toujours de tout manière de ce Crossroad intrépide et tellement irritant. Cela dit, après plusieurs longues, très longues minutes à élucider des sortes de stratagèmes pour de nouveau –essayer- d’échapper à Crowley pour mieux profiter de sa routine qu’il avait installé dans sa vie. Routine qui, par ailleurs l’exaspérer fortement, certes, mais mieux fallait-il qu’il garde ses habitudes que d’être aux services de quelqu’un autre que de lui-même, il ne voulait en aucun cas se colporter des responsabilités, lui seul pouvait se poser des limites, des limites qu’il franchissait toujours au-delà, personne ne pouvait lui dicter sa loi, lui donner des ordres et cela Crowley n’était pas du genre à le comprendre. Soupirant de façon excédé au plus haut point, il avait fini par prendre la peine de se calmer quelque peu, histoire qu’il ne rate pas une soirée en compagnie de belles jeunes femmes, comme à son habitude. Il avait dès son entrée déposé son sac qu’il emmenait toujours avec lui pour ses virées, de ce fait il prit le nécessaire afin de se diriger vers la salle de bain, pièce qui était située juste à côté de la chambre. Il s’était rapidement déshabiller afin de rentrer dans la douche après avoir réglé la température de l’eau, il avait besoin d’une eau brûlante, ce qui le fit frissonner instinctivement. Les gouttes d’eau déferlaient impudemment sur le corps musclé du démon, ce dernier pouvait sentir l’air se réchauffer et de la buée prendre le dessus, encadrant la douche et la salle de bain tout entière. Il attrapa le gel douche qu’il avait prit dans son sac pour en prendre une petite quantité, l’étalant frénétiquement sur son corps, savon qui ne faisait d’ailleurs pas long feu puisque l’eau l’effaçait systématiquement. Il se dépêchait tout de même pour ne pas à avoir se poser de questions ou à être dans ses pensées et se torturer –quel jeu de mot- l’esprit. Ce n’est qu’après quelques minutes qu’il se décida à sortir, attrapant au passage une serviette, l’entourant autour de sa taille. Rapidement il se prépara, en commençant par se sécher et s’habiller d’une habituelle chemise noire sur laquelle il laissait deux boutons du haut ouvert tout en enfilant un jean sombre. De là, il ébouriffa ses cheveux, non pas comme un moins que rien, mais en prenant garde à ne pas paraître miséreux. Fin prêt, il ne lui restait plus qu’à prendre sa veste et de l’enfiler. Sortant de la chambre, il ne fit que claquer la porte derrière lui, de toute évidence il était peu probable que quelconque personne rentrerait dans un motel miteux et sale. Une nouvelle fois il arpentait, non pas la chambre qu’il venait de quitter mais cette fois-ci la rue, le trottoir en observant les alentours. Il avait l’habitude de ne rien percevoir dans ses quartiers délabrés, de plus il était du genre à être invisible face aux humains. Il déposa ses mains dans ses poches, ne cessant jamais de prendre ses gardes à l’encontre d’une quelconque attaque possible, il n’était jamais trop prudent. Il espérait repartir de bonne humeur ce soir, il le devait, sinon la personne qu’il allait ramener risquerait de passer un mauvais moment, bien malencontreusement pour elle, bien heureusement pour lui. Il pensait soudainement à une personne, une jeune femme, un démon aussi sensuelle que cruelle. Saphyr était comme lui, et même s’il ne savait pas pourquoi il pensait actuellement à elle en cet instant, il avait une hâte de la revoir, de la retrouver. Il avait repéré au loin un pub, le néon qui trônait au dessus indiquant le nom de ce dit-pub éblouissait quelque peu ses yeux, la couleur bleu, rouge ne s’accordait pas vraiment, c’était laid, mais il n’en restait pas moins qu’il n’en avait repéré aucun de ce fait il allait devoir se contenter de cela. Alors qu’il allait s’apprêtait à traverser la rue afin d’y accéder rapidement, il s’était retrouvé appuyé, de façon brusque contre un mur, qu’il avait jugé après l’avoir rapidement examiné du regard, comme une impasse non éclairé que part les lumières de la rue à des kilomètres de lui. Il pouvait sentir une légère pression sur son thorax, ce qui ne l’empêcha pas pour autant de suffoquer ou d’être en manque d’air. Il n’était pas surpris, juste étonné sans plus. Il déposa alors son regard sur « la chose » qui l’avait plaqué contre le mur et n’était pas plus stupéfait de voir en face de lui une charmante demoiselle qu’il avait eu l’occasion de croiser plusieurs fois sur sa route et pour qui, il estimait bon de perdre une soirée en d’autre compagnie. Il lui souriait, de façon non pas amical mais presque, elle était bien la seule personne que Morgoth aimait voir, après tout elle avait un charisme fou, un visage magnifique, une sensualité exquise qui ne déplaisait aucunement au démon. Ils se connaissaient, peut-être même qu’ils s’appréciaient sans pour autant se l’avouer, bien trop d’orgueil, d’estime et de fierté en eux pour le faire. Il s’était reculé de l’emprise de la brune, en glissant une de ses mains dans ses cheveux. « A croire que tu lis dans mes pensées, demoiselle. J’espérais te voir et te voilà, si cela n’est pas merveilleux. » Il parlait, de sa voix suave et charmeuse, comme toujours et il était resté appuyé contre le mur en croisant les bras, histoire de s’imposer un peu. Il était certain qu’il allait passer une excellente soirée et cela était peu dire. « Que me vaut l’honneur de ta visite, Saphyr ? Je te manque tant que ça ? » Il aimait jouer sur le sarcasme, il adorait s’amuser en parlant, surtout avec cette dernière qu’il regardait attentivement, en laissant parcourir son regard de fond en comble sur son corps parfait et sa posture féline.
Dernière édition par Conrad D. Jakman le Sam 3 Déc - 14:59, édité 3 fois |
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